jeudi 10 janvier 2013

Petite info !

Pour tous ceux qui serait envieux d'en savoir plus ou d'assister à des séminaires pour s'impliquer davantage, consulter ce site : http://evenements.bioetbienetre.fr .
Vous trouverez la liste des salons bio ou bien être en fonction des dates d'exposition, de votre région et de votre département.
Alors n'hésitez pas !


Petite anecdote très économe  : les couches lavables !


      Le cout d’achat des couches, produit bébé bio, qui pourrait être divisé par 5 et le coût pour la collectivité qui prend à sa charge l’incinération des couches jetables.
Concernant le lavage, une multitude de nouvelles entreprises proposent désormais un service de mise à disposition de couches et de lavage de celles-ci en grande quantité.
Seuls un petit nombre de maternités passeront aux couches lavables dans les mois et années qui viennent. Néanmoins, il est important que les mamans soient volontaristes et participent à la prise de conscience collective et ce notamment dans les crèches, ne l'oublions pas : pour le respect de la peau et de la santé future de bébé.
Il en va aussi de l’avenir de notre petite planète préférée qui elle, malheureusement, ne peut pas être lavée…






Tout aussi important et qui rejoint le "bio", le Commerce Equitable ! 


   « Le Commerce Equitable est un partenariat commercial, fondé sur le dialogue, la transparence et le respect, dont l'objectif est de parvenir à une plus grande équité dans le commerce mondial. Il contribue au développement durable en offrant de meilleures conditions commerciales et en garantissant les droits des producteurs et des travailleurs marginalisés, tout particulièrement au Sud de la planète. Les organisations du Commerce Equitable (soutenues par les consommateurs) s’engagent activement à soutenir les producteurs, à sensibiliser l’opinion et à mener campagne en faveur de changements dans les règles et pratiques du commerce international conventionnel. »

   Les Enjeux afin de démocratiser le commerce équitable en France seraient de:
   proposer encore plus de produits de qualité aux consommateurs,
 développer les lieux de consommation de produits équitables (hôtellerie, restauration, cantines d’entreprises, distributeurs automatiques etc.),

 développer la commande publique équitable,

 renforcer la transparence et la lisibilité des engagements et des résultats de la démarche pour les consommateurs,

 renforcer la visibilité du commerce équitable et des différents produits à travers l’organisation d’évènements et de campagnes de sensibilisation.




Attention à votre empreinte écologique !


    « Biologique », est-ce nécessairement synonyme 
« d’écologique »? 

   Une laitue bio qui a voyagé 5 000 km avant de se retrouver dans votre assiette est peut-être moins « écologique » qu’une laitue, cultivée de façon industrielle, qui provient d’un producteur local. Il en va de même pour la fraise californienne que nous achetons en janvier. 
Qui dit distance, dit consommation d’énergie. Les produits agricoles bio se vendent en majorité sur les marchés locaux, sans doute car ce type d’agriculture est l’oeuvre, en grande partie, de petits producteurs.
Pas moins de 79 % des légumes bio parcourent moins de 160 km de la ferme à la table d’après le ministère américain de l’Agriculture. Par contre presque 50 % des produits animaux bio, incluant les oeufs et les produits laitiers,
voyageraient sur plus de 800 km.

Où trouver des produits bio ?


       Il y a quelques années, on ne trouvait des aliments bio que dans certains magasins spécialisés où les offres restaient très minces. Aujourd’hui, les circuits de distribution se sont organisés et plusieurs grandes chaînes d’épicerie ont des sections de produits certifiés biologiques : fruits et légumes frais, grains, farines, oeufs, lait et produits laitiers, ainsi qu’une gamme de produits transformés tels que des pâtes alimentaires, des biscuits, ou encore des boissons de soya. Le marché de la viande se développe plus lentement. Mais on trouve, dans certaines boucheries, du poulet, du boeuf, du veau ou du porc, parfois des saucisses, le tout davantage sous forme congelée. Certaines poissonneries proposent aussi des poissons d’élevage certifiés biologiques.





     Parallèlement aux grands réseaux de distribution, de petits réseaux de vente directe, du producteur au consommateur, se sont établis. Les gens se déplacent à la ferme pour s’y procurer les aliments bios qui y sont directement produits et par la même occasion, ils économisent les coûts supplémentaires de distribution. Cependant pour une rentabilité optimale, il est préférable de faire une commande groupée afin de minimiser les coûts d’essence ainsi que l’empreinte sur l’environnement par la même occasion. Ils peuvent aussi recevoir, par l’intermédiaire d’un producteur de leur région, un panier bio, livré chaque semaine à un point de chute près de chez eux. C’est ce qu’on appelle « l’agriculture soutenue par la communauté ».